Jacques de Selliers a découvert la photographie
à 14 ans. Il a développé cet art durant
ses études à Lausanne,
mais cela devint une véritable passion
à Houston, Tx, où il se lia d'amitié avec
George O. Jackson, un brillant photographe Texan. Ils passaient
leurs temps libres
à parcourir la ville au crépuscule, capturant
les réflexions des dernières lumières sur
les gratte-ciels et voyageant en
Amérique Centrale
pour capter les villageois indiens dans leurs intenses cérémonies
traditionnelles.
En 1986, George O. et Jacques prirent des photos du méga concert-show
que Jean-Michel Jarre donna pour les célébrations du bicentenaire
du Texas. Jarre les vit, les apprécia, et
invita George O. et Jacques à photographier ses concerts suivants.
C'est également à Houston que Jacques de Selliers découvrit la plongée sous-marine, passa les tests Padi et acheta un Nikonos V.
Ce fut le début d'une passion... et d'un long apprentissage. En effet, il se rendit vite compte que la photo sous-marine n'a rien à voir avec
la photo sur terre, surtout avec un appareil aussi primitif que le Nikonos V.
Plus tard, il acheta un caisson Ikelite pour son Nikon 90 et réussit à produire de meilleures photos. En 2007, il passa au digital et s'équipa d'un caisson Hugyphot pour Nikon D200. Il a fait en tout une quinzaine de séjours de plongée, surtout des croisières en live-aboard où il prend plus de 1000 photos sous-marines en une semaine.
Quand Jacques quitta Houston, il continua à prendre des
photos en voyage et à faire toutes sortes de reportages,
aussi bien sur terre que sous la mer. En
2000,
il fonda le Musée
du Clockarium, puis en 2001, GreenFacts,
une organisation indépendante qui vulgarise sur GreenFacts.org le
consensus scientifique sur des questions d'environnement
et de santé, qu'il dirigea pendant 7 ans. En 2008, il se lança dans le véhicule électrique, en créant Going-Electric, l'Association Européenne pour la Défense des Véhicules Electriques, et devint partenaire dans Green Mobil, une start-up qui importe et distribue des véhicules électriques en Belgique.
"Ces nouvelles responsabilités me laissent peu de temps à consacrer
à la photographie," déclare Jacques de Selliers. "Cependant, j'essaye de m'arranger pour
faire quand même chaque année un séjour de
plongée,
de préférence en live-aboard.
J'aime retravailler mes photos sur ordinateur et les partager
en ligne, sur ce site comme sur mon site perso deselliers.info.